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EFFET DE FLUCTUATONS DU TAUX DE CHANGE SUR L’ACTRACTIVITE DES INVESTISSEMENTS DIRECTS ETRANGERS EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO : de 1994 à 2022


Résumé


Auteur : JULIEN SHABALIRE
Niveau: G3
Département: Economie
Année Ac: 2023-2024 , | 2024-08-30 20:35:09

Mots clés

IDE, taux de change, ARDL, cointégration

Intérêt

Problématique



Les fluctuations du taux de change modifient grandement le volume des Investissements Directs Étrangers (IDE) attiré par un pays (Buckley & Casson, 1976). Cette préoccupation importante qui présente encore un fait actuel, est restée longtemps mise en évidence dans les économies développées alors même que les pays en développement ont connu ces dernières années un regain d’attractivité des IDE. Aussi, il importe de justifier la forte attractivité des IDE par leurs retombées sur les économies nationales. Les IDE sont pourvoyeurs de transferts de technologies et de connaissances (Sala & Trivin, 2014), d’amélioration du capital humain et de la compétitivité (Alaya, Nicet-Chenaf, & Rougier, 2009), de changement dans la structure managériale des entreprises, d’accélérateur de la croissance économique (Gregorio, Lee, & Borensztein, 1998), de catalyseur de la mondialisation et de diversification des économies (Devarajan & Fengler, 2013).
Depuis l'effondrement du système de taux de change fixe de Breton Woods, le régime de taux de change optimal d'un pays est un sujet de débat parmi les économistes internationaux. Par conséquent, la question de la stabilité des taux de change et de son impact sur l’économie a fait l’objet d’une attention considérable lors de diverses crises dans plusieurs pays (Zouirchi & Ouia, 2024).
En effet, il a été constaté qu'à partir des années 70, une prise de conscience sur le rôle de l'investissement direct étranger s'est instaurée. Au cours des années 80 et 90, les stratégies prônant une forte protection commerciale ont laissé place à une libération Progressive des conditions d'investissement. C'est ce qui explique cette montée subite des IDE à destination des pays en voie de développement et en particulier la RDC (Ozyurt, 2002).
Le flux des IDE sont passés de 202 milliards de dollars en 1990 à 331 milliards de dollars en 1995 (Sumuta & Zumbu, 2020). En 2017, les flux entrants d’IDE dans le monde s’élèvent à 1430 milliards de dollars contre 1359 milliards de dollars en 2000 (CNUCED, 2018). Les économies en développement et celles en transition sont devenues depuis une décennie, des destinations incontournables d’IDE, représentant environ 50,2% en 2017, 53% en 2014 contre 42% en 2000 (CNUCED, 2018). L’Afrique, au cours des trois dernières décennies, a enregistré des entrées importantes des IDE.  Celles-ci y étaient évaluer à 2,84 milliards de dollars en 1990. Elles ont atteint 59,37 milliards de dollars en 2016 (CNUCED, 2018). Mais leur évolution est caractérisée par une forte volatilité. Le continent attire 9,65 milliards de dollars en 2000, 19,97 milliards en 2001, 14,7 milliards de dollars en 2002, 57,7 milliards de dollars en 2008, 58,29 milliards de dollars en 2014, et 54,07 milliards de dollars en 2015 (CNUCED, 2016) et en 2020, les flux d'investissement vers l'Afrique ont représenté 5,2% des IDE mondiaux, contre 4,1% l'année précédente. Par rapport au record de 80 milliards de dollars atteint en 2021, les flux des IDE vers l'Afrique ont chuté à 45 milliards de dollars en 2022, représentant 3,5% des IDE mondiaux (CNUCED, 2023).
Alors que la RDC venait de subir un désinvestissement net estimé à 7,13 millions de dollars vers les années 2000 due principalement à la crise aiguë résultante du processus de privatisation des nombreuses entreprises étrangères et aux politiques des grands travaux entreprises à partir des années 1974, mais aussi à cause de la suspension de la coopération avec les institutions de Breton Wood (Levi, 2018). Et au cours de cette période on remarquera une volatilité du taux de change qui a souvent été caractérisée par une perte de valeur de la monnaie nationale par rapport à la monnaie étrangère comme c'est le cas à fin décembre 2000, où le franc congolais avait perdu 91% de sa valeur à l'interbancaire face au dollar américain contre 46,7% une année au paravent (Itongwa, 2014). Ce ne qu'en 2001 que la RDC a repris ces relations avec la FMI et la Banque Mondiale, et c'est justement à cette période que les mesures de redressement commencèrent à donner des résultats. C'est ainsi qu'on va remarquer une reprise des flux d'IDE à destination de la RDC.
Plus précisément, en 2003, les flux d'investissements étrangers ont atteint 132 millions de dollars américains et représentaient 23,6% de la formation brute de capital fixe. Au cours de l'année 2006, les IDE en RDC se sont élevés à 500 millions de dollars, contre environ 405 millions de dollars en 2005 et une moyenne de 5 millions entre 1990 et 2000. Les investisseurs étrangers, plus particulièrement les belges, les chinois et les sud-africains, ont diversifiés leurs placements dans le secteur minier, bancaire et la télécommunication (Ntanga, Kazadi, & Ntita, 2019). D'autres part on remarquera qu'à partir de l'année 2001, avec la mise en œuvre d'un programme de stabilisation macroéconomique dénommé « Programme Intérimaire Renforcé », PIR en sigle (étalé pour mai 2001 - juin 2002) et son programme économique/ PEG (couvrant la période avril 2002 - juillet 2005), qui a été élaboré avec l'assistance des services du FMI, avait une double finalité, à savoir : stabiliser le cadre macroéconomique en vue de préparer les conditions de relance économique et favoriser la reprise de la coopération internationale. Au plan macroéconomique, le PIR avait pour objectif de casser l'hyperinflation (Kuma, 2011).
L’exécution « totale ou partielle » de ces deux programmes a permise au gouvernement de maîtriser l’inflation dont le taux a été ramené de 511% en 2000, à 235% en 2001 et 16% en 2002 ; d’unifier les deux taux de change (parallèle et officiel), grâce à la libéralisation des activités de change et d’en assurer une relative stabilité ; de mettre en place un plan de trésorerie de l’Etat sur base caisse, grâce auquel le solde du trésor est passé d’un déficit de 10,59 milliards (soit 3,1% du PIB) à un excédent de 12,81 milliards de franc (soit 0, 85% du PIB de 2002); d’accroître le PIB dont la tendance générale est haussière pour toute la décennie bien que son contenu ne soit pas pro-pauvre (Ntalaja, 2003) et d’opérer une dévaluation de 84,1% du taux de change Franc congolais-dollar USD, avec comme corollaire l’accroissement des recettes publiques (Nzinga, Bilan du programme intérimaire renforcé et évaluation à mi-parcours du programme économique du gouvernement, 2003; Samba, 2003; Ntalaja, 2003). En effet, Fixé à 320 FC en 2001, le taux de change est passé à 441 FC ; 503 FC ; 640 FC ; 903 FC et 915 FC, respectivement au cours des années 2004 ; 2006 ; 2008 ; 2009 et 2010 (Kayembe, 2011; Nzinga, 2011). Si l’on fait de la statistique descriptive pour cette série, il apparaît des fortes irrégularités dans l’évolution du taux de change, surtout au cours de trois dernières années où les écarts interannuels moyens sont de l’ordre de 69 ; 263 et 12, respectivement pour les années 2008 ; 2009 et 2010.
Selon l'ANAPI, le volume des IDE en RDC s'est élevé à 1,8 milliards de USD en 2007, les IDE ont continué à dégringoler, se maintenant à 1,73 milliards de USD en 2008. De 2009 à 2011, on va voir le volume des IDE en RDC baisser considérablement et se situer en dessous de la barre de 1 milliards de dollars américains, se maintenant à : 951,4 millions de USD en 2009, 638,8 millions de USD en 2010, et 210,5 millions de USD en 2011 (ANAPI, 2017). Cette récession des IDE est principalement due aux conséquences de la crise financière de 2008 qui va impacter aussi le taux de change de la RDC, avec une dépréciation de 29,2% à l'indicatif au cours de l'exercice 2009.
À partir de l'année 2012, on observera une reprise de la croissance du volume des IDE qui vont dépasser la barre de 1 milliard, cette année va enregistrer un montant record de 6.592.645.954 $ nécessairement dû en partie de la stabilité de la politique de change observait pendant les années précédentes. Mais le volume d'IDE va suivre une tendance baissière au cours des années qui vont suivre, soit : 4.027.877.966 $ en 2013, 2.952.333.506 $ en 2014, 1.852.642.795 $ en 2015 (Levi, 2018). Au cours de cette période on va remarquer contrairement la tendance des IDE, une stabilité du taux de change, car entre 2011 et 2017, la RDC a enregistré des taux de change inférieur à 1000 CDF le dollar américain. Si l'IDE mondial recule en 2018, les flux à destination de l'Afrique ne vont pas suivre cette tendance. Les flux d'IDE vers l'Afrique centrale vont rester stables, avec un montant de 8,8 milliards de dollars. Les entrées en RDC vont augmenter de 11% pour atteindre 1,5 milliards de dollars, et vont être alimentés par les investissements continus dans les minéraux, en particulier dans le cobalt (CNUCED, 2018). D'autres parts, la grande partie, soit plus de la moitié des IDE annuels à destination de la RDC sont principalement orienter vers le secteur minier (ANAPI, 2017).
Il sied d’indiquer que les investissements directs étrangers entrants sont passés de1,9 milliards de dollars d'IDE en 2020 à 1,488 milliards USD en 2019, 1,616 milliards USD en 2018, cette évolution est inhérente, entre autres, à la baisse des cours mondiaux des produits miniers et énergétiques (Wendji, Sibayirwandeke, Kyuma, & Kahandukya, 2024). Pendant cette même période le taux de change indicatif s’est établi à 1 672,95 le dollar américain, à fin décembre 2019, contre 1 635,62 CDF à fin 2018, soit un taux de dépréciation de 2,2% contre 2,7% précédemment. Par ailleurs, sur l’ensemble de l’année, le taux de change moyen a été de 1 647,76 CDF le dollar américain contre 1 622,52 CDF en 2018, soit un taux de dépréciation de 1,5% contre 9,7% l’année précédente (BCC, 2019).
Au cours de l'année 2022, le franc congolais est demeuré globalement stable sur le marché officiel alors qu'il a été observé quelques soubresauts sur le marché parallèle, principalement au deuxième semestre de l'année. En 2022, le taux de change indicatif, sur la base de données à fin période, s'est établi à 2.016,91 CDF le dollar américain contre 1.999,97 CDF en 2021. Sur le marché parallèle, ce taux s'est situé à 2.138,33 CDF le dollar américain contre 2.044,67 CDF en 2021. La faible volatilité du taux de change s'explique par l'amélioration de l'offre des avoirs résultant de la bonne performance de la balance commerciale couplée à certains appuis extérieurs (budgétaire et à la balance des paiements). La valeur extérieure du franc congolais a baissé de 0,84% en 2022 contre une perte de 1,41% en 2021 sur le marché officiel. Sur le marché parallèle le franc congolais a perdu 4,38% de sa valeur face à la devise américaine en 2022 contre un recul de valeur de 1,21% en 2021 (BCC, 2022).
Au vu des éléments présentés ci-haut, dans une économie dotée d'un régime de change flexible, le taux de change fluctue quotidiennement de manière très fine. Sa volatilité a un impact sur l'économie car elle affecte les variables macroéconomiques, à savoir le taux d'inflation et les investissements directs étrangers. Cette dernière joue un rôle important dans le développement économique et social du pays d'accueil. En plus d'augmenter le capital national et de créer des emplois, cela peut stimuler la productivité grâce à la diffusion d'externalités positives dans le transfert de la technologie et de savoir-faire (Zouirchi & Ouia, 2024). Aujourd'hui, l'investissement étranger est considéré comme une panacée contre les maux économiques et sociaux sont souffrent les économies : chômage, manque de ressources intérieures, ruptures technologiques, déficit de la balance des paiements, exclusion sociale, etc.
Alors, il se pose la question de savoir quel est l'impact de fluctuations du taux de change sur l'attractivité des investissements directs étrangers (IDE) en RDC ? Pour pouvoir apporter une réponse satisfaisante à cette question principale on a dû recourir à un certain nombre de questions spécifiques, à savoir :  comment les fluctuations des taux de change affectent la décision des investisseurs de réaliser des investissements directs étrangers en RDC ? Quelle est la réaction entre le taux de change et les flux d'IDE ? Et qu'en est-il de la RDC ?

Plan provisoire

Mises à part l'introduction et la conclusion, ce travail s'étend sur trois chapitres. Le premier chapitre porte sur une restitution de ce que dit la littérature récente sur le lien entre les fluctuations du taux de change et les investissements directs étrangers. Le deuxième chapitre porte sur la présentation du contexte et de l'évolution générale de l'économie congolaise. Le dernier chapitre porte sur l'analyse économétrique de l'impact de fluctuations du taux de change sur l'attractivité des IDE, mais aussi sur l'interaction entre taux de change et les déterminants d'IDE et leur impact sur ce dernier.

Hypothèses

Selon les recherches menées par H. SHAFIRI-RENANI et M. MIRFATAH en tentant d'analyser les déterminants de l'IDE, en particulier la volatilité du taux de change et le taux de change en Iran, le PIB, l'ouverture et le taux de change ont une relation positive avec l'IDE, mais les prix mondiaux du pétrole brut ont une relation négative avec l'IDE (Sharifi-Renani & Mirfatah, 2012). Mais aussi l'étude de CUSHMAN et GLAUCO sur les régimes de change et les IDE dans les pays en développement, montre que les taux de change peuvent stimuler, entraver ou être sans effet sur l'attractivité des IDE (CUSHMAN & GLAUCO, 2017). Nous postulons en disant que l'effet de fluctuations du taux de change sur l'attractivité des IDE entrant est négatif et non significatif en République Démocratique du Congo.
D'après les recherches de AHMEID HEFNAOUI et ses collaborateurs, il a été démontré que pour que le Maroc puisse insister les investisseurs étrangers à investir, il devrait mettre en place des infrastructures, les stratégies de promotion des exportations à fin de maintenir une balance commerciale équilibrée ou excédentaire, des facilités fiscales et monétaires efficaces , mais aussi des efforts concertés de la part de la banque centrale pour maîtriser le comportement du taux de change parallèle et formuler des pratiques monétaires et de change qui améliorent la croissance des revenus (Hefnaoui, Iaataren, & Nadri, 2023).
Nous postulons en disant que pour qu'une économie, et la RDC en particulier puisse tirer profit des IDE mais aussi attirer plus l'attention des investisseurs directs étrangers, elle devrait disposer d'un certain niveau de développement en matière d'éducation, de technologie, d'infrastructures, une politique de change et un marché financier efficace. À cela s'ajoute le fait que les IDE en RDC devraient être accompagnés d'un certain niveau d'ouverture commerciale.

Méthodes

En effectuant cette cherche, l'analyse de données recueillies a été possible grâce à l'utilisation de la méthode économétrique et la méthode comparative.
La méthode économétrique consiste à représenter le phénomène à représenter le phénomène à étudier sous forme mathématiques avec pour objectif de procéder à des analyses des données pour informer ou affirmer les hypothèses de départ (Kikandi, 2024). L'avantage de cette méthode est qu'elle est d'une grande aide en matière des simplifications des données relatives à chaque variable du modèle économétrique à analyser.
La méthode comparative consiste à confronter deux ou plusieurs réalités sur base d'un certain nombre de critères afin de voir s'il y a une certaine similitude ou dissimilitude entre les phénomènes étudiés. L'avantage de cette méthode est qu'elle permet au chercheur non seulement de comparer deux phénomènes, mais aussi de déterminer quels sont les faits qui sont à la base de la ressemblance ou de la différence entre les phénomènes étudiés (Grawitz, 1993).
Comme technique pour la récolte des données, nous avons essentiellement utilisé la technique documentaire qui consiste à recueillir des informations à partir des documents tels que des reçus, des rapports, des livres, etc. Dans le cadre de cette recherche, cette technique a été utilisée en puisant les données utilisées aux prêts des rapports de la BCC et de la Banque Mondiale, mais aussi nous avons recouru à la base de données de la Banque Mondiale.

Bibliographie

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